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Un peu d’humour… Il s’appelait Boudreaux…

Il s’appelait Boudreaux.  Il était originaire de Cutoff, en Louisiane et il avait besoin d’un prêt, alors…

Il entre dans une banque de New York et demande à parler au directeur de prêts.

Il explique à ce dernier qu’il doit se rendre à Paris pour un Festival International Cajun pendant deux semaines et qu’il doit emprunter 5000,00 $ mais qu’il n’avait pas de compte bancaire dans leur institution.

L’employé de la banque lui dit qu’il aura besoin d’une certaine forme de garantie pour le prêt, alors Boudreaux lui remet les clés d’une toute nouvelle Ferrari garée juste devant l’entrée de la banque.

Boudreax rempli les formulaires nécessaires et le directeur de prêts accepte de conserver la voiture en garantie pour le prêt et s’excuse d’avoir à lui facturer un taux d’intérêt de 12%.

Plus tard, le président de la banque et ses dirigeants se moquent tous du Cajun de la Louisiane qui a utilisé une Ferrari valant 250 000 $ comme garantie pour un prêt de 5000,00 $. Un employé de la banque va ensuite stationner la Ferrari dans le garage souterrain privé de la banque.

Deux semaines plus tard, Boudreaux revient et rembourse les 5000,00 $ plus les intérêts qui s’élèvent à 23,01 $. Le directeur déclare: « Monsieur, nous sommes très heureux d’avoir fait cette transaction avec vous, mais nous sommes un peu perplexes ».

 « Durant votre absence, nous avons vérifié sur Dunn & Bradstreet et avons découvert que vous étiez un ancien élève distingué de l’Université de la Louisiane, que vous étiez un investisseur très sophistiqué et multimillionnaire possédant des intérêts immobiliers et financiers dans le monde entier. Vos investissements comprennent un grand nombre de plates-formes pétrolières dans le sud de la Louisiane.  Ce qui nous laisse perplexes, c’est pourquoi avoir pris la peine d’emprunter 5000,00 $ ? »

Le bon vivant répond: « Trouvez-moi un endroit à New York où je peux stationner ma voiture pendant deux semaines pour moins de 25,00 $ et m’attendre à ce qu’elle soit encore là à mon retour ? »

Il s’appelait Boudreaux… Gardez un oeil sur ces gars de Louisiane !